La révolution numérique : une opportunité pour plus de mixité dans notre société.

 

Dans le cadre de mon année en master marketing digital et e-business en part-time que j'ai effectué en 2018, j'ai décidé de m'emparer d'un sujet qui me semble essentiel, celui de l'opportunité que le digital représente pour l'égalité entre les femmes et les hommes.

 

Vaste sujet que d’entreprendre de s’intéresser au sujet de l’égalité femmes/hommes et pourtant au combien incontournable à mon sens, tant les enjeux sont cruciaux.

A l’ère de l’affaire Weinstein, du courant Meetoo, ou du groupe des Pussy Riot (traduisez émeutes de chattes), le féminisme n’a jamais été autant au centre des préoccupations de nos sociétés contemporaines.

Entre prise de conscience et ras le bol collectif, il convient à mon sens de se poser la question de ce que ces mouvements féministes apportent réellement. Apprendre et comprendre nos biais de genre et leurs origines, doit permettre de lutter contre la manifestation de certains des stéréotypes que nous avons tous plus ou moins chevillé à notre esprit.

Dans une société en pleine mutation, que l’on appelle désormais société digital, société numérique, qui bouleverse tous les codes toutes les certitudes que nous avions acquis depuis près de 150 ans, n’est-il pas temps de d’inventer un monde ou femmes et hommes seraient égaux.

Ces valeurs semblent inhérentes à la « société numérique », parce que le temps s’accélère, que les opportunités sont plus nombreuses et que les moyens de s’en saisir sont de plus en plus à notre portée.

Une révolution anthropologique qui façonne un monde fait de data, d’intelligence artificielle, de connexion numérique mais surtout de connexions humaines qui permet de développer un modèle de collaboration plus inclusif.

Il me semble indispensable de bien comprendre que nous devons renverser ce statu-quo qui peut brider les énergies et la créativité d’une partie des talents dont nous avons besoin. Et nous en avons indiscutablement besoin.

La révolution numérique sera aussi féminine, alors, qui l’aime la suive…

 

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